Situé à l’entrée Nord de Nouméa sur 250 hectares, le complexe industriel de Doniambo compte une usine pyrométallurgique, un parc d’homogénéisation des minerais, un atelier de pré-séchage, cinq fours rotatifs de calcination, trois fours de fusion électriques, un atelier d’affinage et de grenaillage, un port et une centrale électrique.

Les trois fours électriques DEMAG sont parmi les plus puissants au monde (jusqu’à 65 MW chacun).

L’usine de Doniambo peut compter sur la capitalisation du savoir-faire et des compétences de générations de métallurgistes. Elle fait régulièrement l’objet de programmes de modernisation et de fiabilisation de ses équipements ce qui lui permet d’avoir un rendement métallurgique et un taux de marche excellent.

Le SLN® 25, un produit certifié

1 150
salariés

1 000
sous-traitants
et fournisseurs locaux pour
6 000
emplois
indirects

Bureau des communautés

Avec la commune de Nouméa comme avec les villages miniers où elle travaille, avec les autorités comme avec les populations riveraines, la SLN apporte un soin particulier à la qualité du dialogue et de l’écoute des attentes exprimées.

Site industriel de Doniambo

Nouméa
Téléphone : 24 53 06

Un Comité Local d’Information se réunit à l’initiative de la province une fois dans l’année. Les institutions, des associations et des riverains y sont représentés afin d’échanger sur des problématiques les intéressant.

  • Des visites du site industriel sont organisées régulièrement en s’inscrivant sur le site internet SLN, sur son Facebook ou en appelant le 28 55 48.

Notre contribution à la diversification économique

Vous avez un projet ? La SLN est à votre écoute avec ses partenaires. En effet, dans le cadre de sa responsabilité sociétale (RSE), l’entreprise a mis en place depuis plus de vingt ans des partenariats qui permettent à des porteur de projets de se lancer (micro-crédit, accompagnement dans le montage du projet…).

Partenariats

De nombreuses conventions sont régulièrement passées par la SLN avec des associations dans les domaines du sport, de la jeunesse, de l’environnement, des grandes causes sociales ou humanitaires, au profit des Nouméens. Ces retombées s’inscrivent dans le cadre de la responsabilité sociétale de l’entreprise.

Un peu d’histoire :

100 ans d’évolution technologique

En 2010, l’usine de Doniambo a fêté son centenaire. En un siècle, le site industriel n’a cessé d’améliorer sa technologie en menant d’ambitieux chantiers de modernisation. L’usine actuelle a connu plusieurs évolutions techniques et technologiques et majeures, suivant en cela l’avancée des connaissances.

L’usine de Doniambo a été mise en service pour la première fois en 1910 par la Société des Hauts-Fourneaux de la firme bordelaise Ballande. Cette société partageait alors l’exploitation et le traitement de la garniérite calédonienne avec Le Nickel, société issue en 1880 de l’association des pionniers Jules Garnier, John Higginson et Henry Marbeau. Entraînés dans les remous de la crise mondiale de 1929, les cours du nickel s’effondrent en 1931. Les deux sociétés fusionnent alors pour n’en former qu’une seule : Calédonickel, rebaptisée plus tard Société Le Nickel.

L’usine rattrapée par la ville

Il y a un siècle, l’usine était implantée sur les trois hectares d’un site éloigné de la ville naissante de Nouméa. Il n’y avait là qu’un abattoir et un champ de tir. Doniambo comprenait alors l’usine proprement dite, une unité de production électrique au charbon et des voies ferrées reliant les stocks de matières premières (minerai, charbon notamment) à l’usine où aux quais. Depuis, la ville comme l’usine n’ont cessé de s’agrandir, les ouvriers les premiers sont venus habiter à proximité ce qui a formé les premiers quartiers de Doniambo. Avec le développement des techniques et l’augmentation des capacités de production, l’usine a été agrandie dès les années 1950 sur 70 hectares gagnés sur la rade grâce à la scorie, son coproduit. Aujourd’hui, comme bon nombre d’exemples de par le monde, le site industriel est rattrapé par les quartiers résidentiels et commerciaux qui se sont développés notamment depuis les années 1990. Le site industriel fait aujourd’hui 250 hectares. La cohabitation avec son voisinage fait l’objet d’une gestion des nuisances et des risques en totale transparence avec les autorités et les riverains (Comité Locale d’information, visites du site, contrôles réglementaires par les autorités, publication des résultats des émissions atmosphériques, exercices ORSEC …).